Kathmandou en feu : des protestants a l'arriere plan. / Kathmandu on fire: a protest at the background |
No working today: time to play cricket En temps de greve, mieux vaut jouer au cricket |
We took the day to go to the Indian embassy: we had to start early, 7.30am (for an opening at 9.30am) because the queue is generally long. First come, first served. That gave us the time to make new friends amongst the foreigners waiting. Later that day, we eventually got our passports with one page decorated with the Indian Visa so we left Kathmandu, very happily, towards the border town of Bhairawa. En route, we experienced the country’s overstretched infrastructure, when we got stuck for 1.5hrs on a mountain road with broken down trucks. We could see a line of vehicles from the top to the bottom of the valley. Eventually, after nearly 9 hours of mountain roads, we arrived in Bhairawa where, despite being harassed by rickshaws offering any deal for any sort of ride anywhere, we stayed there for the night. Phew!
Avant de quitter Pokhara, nous sommes allés visiter le musée de la montagne, dédié à tous ces peuples népalais qui vivent dans les montagnes, ces alpinistes qui ont gravis tous les sommets Himalayens les uns après les autres, la faune (notamment le Yeti!) et la flore des montagnes, et ces magnifiques sommets Himalayens (Himal signifiant « Montagne » en népalais et « aya » signifiant « chaine »), avec des images sublimes.
Small indu temple / Petit lieu de priere indou |
Nous n’étions pas ravis à l’idée de retourner vers la capitale bruyante et polluée, mais nous devions aller à l’ambassade d’Inde pour y faire nos visas. 7 heures après avoir quitté Pokhara, nous sommes à Katmandou et avons décidé d’établir notre QG à Thamel, le cœur grouillant et bruyant de la capitale. La chambre était minuscule avec des toilettes-douches (le tout en un !), un lit oriente contre la fenêtre (au grand désespoir d’Agnès) et des draps trop petits pour deux (ce qui a valu un concours tirage de draps toute la nuit). Thamel était Thamel quand nous nous sommes couchés : bruyant. A notre grande surprise, tout était calme au réveil ! Une grève générale a totalement arrêté le pays. Katmandou est ville morte : pas de circulation (mis à part les vélos et quelques rickshaws), tous les magasins sont fermes. Du coup, pas de coup de klaxons, pas de circulation chaotique et l’air est plus pur... D’après ce que nous pouvions lire dans la presse, la grève était en réponse à la mort d’un activiste népalais en prison. Il y a eu quelques manifestations, quelques feus dans la ville et une forte présence policière, il n’y a pas eu (ou peu) d’incidents.
Nous avons passé la journée à l’ambassade d’Inde : début à 7h30 pour faire la queue avant l’ouverture à 9h30. Avec le nombre d’étrangers qui partent en Inde, mieux vaut arriver tôt. Cela nous a permis de faire ami-ami avec quelques-uns. A la fin de la journée (car il a fallu revenir), nous avons eu nos visas et, sans perdre de temps, nous sautons dans un bus le lendemain matin pour Bhairawa au sud du pays. En route, nous avons pu nous rendre compte des infrastructures limitées du pays. Quelques camions en panne bloquaient la circulation et, du haut de la vallée, nous pouvions voir une file de véhicules ininterrompue à travers la montagne. Nous y sommes restes 1h et demie. Au bout de 9h à serpenter entre monts et vallées, nous sommes arrivons à destination et, malgré la pression constante des rickshaws prêts à nous emmener n’importe où à n’importe quel prix, nous y restons pour la nuit. Pfiou !
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