SMBG Parkash Primary School, Deurali |
Hangakot with Salroti bread, egg, spicy beans, spinach and milk tea Hangakot avec du Salrori, un oeuf, des haricots aux epinards et epices et du the |
And this is how you take a picture... Et Voici comment on prend une photo! |
The day started with breakfast: a hangakot, which bread (a salroti) is only done during festival time. We guess our visit was a special occasion. The trek took us back on tourist tracks near Dhampus until we reached our guesthouse at 2200m. Unfortunately, the weather was bad: the weather was starting to change and was turning cloudier. We were greeted by a group of business students, eager to get our feedbacks on the trek, quality of tourism services in Nepal and how to improve it. For a thing, the country has to improve its infrastructure.
Weaving this linen by hand takes 7 days Tisser un drap a la main prend 7 jours |
Pokhara Business school students, with us, Ram and Shiroz Les etudiants de l'ecole de commerce de Pokhara avec Ram, Shiroz et nous |
The next morning, Ram took us to his village in Deurali where we had lunch in his native house and were greeted by his sister-in-law. On the way, he showed us his school where he used to go when he was a kid: it was 1.5hrs away each way and, during monsoon time, he had to do the walk with an umbrella on a muddy ground. This is actually still the daily life of lots of Nepalese children. Villages were poor and roads close to non-existent. We went to visit the local school in Deurali. As we had seen before in other villages, the building was very basic (built in the 50s by a Belgian company), furniture were down to simple wooden tables and chairs, with some classes even done outside on the grass. The library was limited to a few books. There were 60 children (from 3 to 11 years) for 5 teachers and half of children had uniforms. The rest was more poorly dressed. Ram showed us a very young boy who looked dirtier and more poorly dressed than the others. He was from an inferior cast who did not have the means to dress him well. This encounter with the children was heart-breaking and certainly an eye opener to life in Nepal: 50% of Nepalese live under the poverty line, and all this is more flagrant in the countryside.
This is the daily life of these people.
Pour bien commencer la journée, nous avons eu un bon petit déjeuner: un Hangakot, dont le beignet (un Salroti) est cuisiné généralement pendant les festivals (notre visite devait être un moment spécial !). Le chemin de randonnée a ensuite rejoint la zone touristique autour de Dhampus près de l’Annapurna, avant d’atteindre notre guesthouse à 2200m. Malheureusement, le temps était froid et nuageux. D’ailleurs, le temps a commencé à changer : l’hiver arrive et les conditions sont devenues moins bonnes. Nous avons été accueillis par des étudiants en business nous demandant de remplir leurs questionnaires sur la qualité des services touristiques au Népal et les moyens de les améliorer. Pour une part, il faudrait améliorer les infrastructures du pays !
SMBG Parkash Primary School, Deurali |
Le lendemain, Ram nous a amené à Deurali, son village natal : nous avons mangé dans sa maison familiale avec sa belle-sœur comme cuisinière. Sur le chemin, il nous a montré son ancienne école en nous parlant de ses conditions de vie : 1h30 de marche minimum chaque matin et chaque soir pour aller à l’école, avec un parapluie et dans la boue pendant la mousson… Et ça, c’est encore le quotidien de nombreux enfants au Népal. Les villages sont pauvres et les routes presque inexistantes, comparé à nos standards occidentaux. Nous avons visité l’école primaire de d
At the school's library / Dans la bibliotheque de l'ecole |
Deurali (60 enfants, de 3 et 11 ans, pour 5 professeurs). Les conditions sont les mêmes que dans les autres écoles publiques visitées : bâtiments très rustiques (construits dans les années 50 par une entreprise belge), tables et bancs en bois, certaines classes sont même données dehors sur la pelouse. La bibliothèque manque de livres et d’espaces aménagés pour rendre la lecture agréable. La moitié des enfants est en uniforme, tandis que les autres sont habillés normalement. De nombreuses familles n’ont donc pas les moyens d’acheter des uniformes. Ram nous a ensuite montré un petit habillé en harpies et au visage particulièrement sale : il était d’une classe inférieure, la plus pauvre et n’avait pas les moyens de s’habiller correctement.
Cette rencontre avec les enfants aura été touchante et nous aura ouvert les yeux quant à leur conditions de vie: au Népal, 50% des gens vivent sous le seuil de pauvreté, ce qui est plus flagrant dans la campagne.
Telle est la vie de ces gens au Népal.
In the classroom: "A, B, C, D...." / Dans la classe: "A, B, C, D...." |
Views to Annapurna peaks from the school / Vues sur la chaine des Annapurna depuis l'ecole |
Ram and Shiroz, our guide and porter...Hop hop hop! / Ram et Shiroz, notre guide et porteur...Hop hop hop! |
"This is ox milk!" (Joke) / "Voici du lait de taureau!" (Humour!) |
End of wedding festivities / Fin de celebration de mariage |
Ram's family house, Deurali / La maison familiale de Ram a Deurali |
Oui je me rappel avoir aussi visité des écoles très rudimentaires à Madagascar, mais chez nous ça ne s'arrange pas! Les moyens manquent de plus en plus... Kylian est en maternelle dans une classe de 35 enfants ( de 3 à 4 ans et demie) sur deux niveaux avec une instit. Donc sur une école maternelle, il y a deux instits pour plus de 70 enfants, sur deux classes, et 2 auxiliaires de vie!!! Sinon je prends tjr autant de plaisir a vous lire. Pour Agnès, maman vient d'arriver pour les fêtes je vais en profiter pour lui montrer votre site, on passe noël en petit comité comme tous les ans, je pense que tu dois avoir un peu la nostalgie de tes proches en cette période particulière. Dans tous les cas profitez bien!!! C le voyage d'une vie! Bises
ReplyDeleteReduire le nombre de professeurs pour faire des economies est une absurdite! Apres, ils s'etonnent que les gosses ne sachent pas ecrire correctement... Ah... Madasgascar! Si j'avais su a l'epoque que tu y partais pour t'y ressourcer, je t'aurais bien suivi! J'espere y aller un jour. Tu me connais trop bien, effectivement, passer Noel sans ma famille, ce n'est pas drole du tout. Je ne considere pas ca comme etant "Noel" sans eux.. Bises a Annie et a vous tous!!!
ReplyDeleteOui je comprends très bien et pourtant tu vois je ne suis pas loin de mes proches, mais une même sensation de vide revient tous les ans à la même période... en tout cas je pense à toi, maman t'embrasse aussi. A très bientôt!
ReplyDeleteUne fin d'année super colorée pour vous! Et le pere noel, vous l'avez croisé???
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