People we had spoken to had told us: the west coast of NZ is spectacular and not to be missed. Unfortunately, the weather was pretty bad, with Mother Nature playing between “continuous gentle rain” and “brief heavy rain”. But our thoughts were with those who were doing the Routeburn today. Had it done this weather two days previously, it could have been us. Truly a miserable day for hiking and not a great day for driving either. And of course, we could not enjoy the sceneries: a few lakes, some valleys, several glaciers (and a view to Mount Cook from the other side) and thick rainforest. But we did not see much of it. Our routine has been the same for 3 days: leave after breakfast, drive for 2hrs or so, stop somewhere for lunch (better with Wi-fi access), drive for another 2 hours, stop again for tea and desert, and do a last 2 hour stretch and stay wherever we are overnight. And one problem with the long driving in NZ is that, as soon as you leave a village, there are no radio stations available, which means no music until the next village. Fortunately, Agnes has reconverted herself as a DJ using our laptop to play the music (well done, DJ Agnes!). Let’s talk about NZ radio for a few seconds. We have been doing some miles under the belt and we are getting to know them. Here are some facts:
- They love Coldplay and Taylor Swift (not us)
- As soon as you leave a city, you lose the signal so that you cannot drive more than 50km with the same station
- Every good music is followed by 10 cheesy pop songs of utter rubbish (not sure the groups are NZers) hence our generic name for NZ’s radio stations: “Soup FM”
- They love Coldplay and Taylor Swift (not us)
- As soon as you leave a city, you lose the signal so that you cannot drive more than 50km with the same station
- Every good music is followed by 10 cheesy pop songs of utter rubbish (not sure the groups are NZers) hence our generic name for NZ’s radio stations: “Soup FM”
This took us to Franz Josef on the first night, a place renowned for its view to the glaciers and glaciers walking. Needless to say that the weather did not give us a chance so we left that morning.
Still, despite the weather, this gave a dramatic look to all the bays we were driving through. With the sea ferociously hitting the cliffs, the views from the top of the roads were quite spectacular. We stopped in Punakaiki, a place famous for its pancake rocks, a strange place where stones look like a pile of pancakes. Even scientists find hard to explain how these accumulations of layers were formed. It is best visited at high tide but we did not think about the time. So, after parking the car, we checked the tide: High tide……2.17pm. Local time…..2.03pm. That will do! And the sea was rough. Perfect conditions for visiting the pancake rocks! The water was ejected from blowholes. Indeed, it was quite dramatic and not short of spectacular! The best stop in the entire west coast. We found that natural site even more spectacular than Giant Causeway in Ireland (piles of hexagonal volcanic stones on the shore).
At the end of the second day, the weather improved and we set up camp overnight just outside of Murchison to be quickly met with our friends the sand-flies… Forget about mossies or fleas… These insects are the nastiest bloodsuckers! They come all around you and don’t hang around before biting you on every piece of flesh available. And their bites are itchy for weeks afterwards! Damned! (scratch-scratch-scratch!) If that was not for them, NZ would be the perfect destination on this planet. Scratch-Scratch!
NZ as we imagined it : storm, rain, very wild and green La Nz comme on l'imagine : sous la tempete, la pluie, tres sauvage et verte |
Les gens avec qui nous avions parlé nous ont dit que les paysages de la côte Ouest de la Nouvelle-Zélande étaient spectaculaires et à ne surtout pas rater. Nous avons malheureusement bénéficié d’un temps médiocre, Mère Nature hésitant entre la petite pluie et les trombes d’eau. Toutes nos pensées allaient vers ceux qui se trouvaient sur le circuit de la Routeburn. Il avait fait ce temps deux jours auparavant, nous aurions donc pu nous aussi randonner sous un temps pareil. C’était véritablement un jour atroce pour faire de la rando ou encore conduire. Evidemment, on ne voyait rien des paysages. Nous aurions dû voir quelques lacs, une ou deux vallées, des glaciers (et une vue sur le Mont Cook depuis l’autre côté) et la dense forêt tropicale. Mais nous n’avons presque rien vu. Notre routine aura été la même pendant 3 jours : partir après le petit-dej’, rouler pendant 2 heures, s’arrêter quelque-part pour déjeuner (avec, si possible accès wi-fi), repartir pour 2h, s’arrêter pour un thé/café/dessert, rallonger de 2 heures et s’arrêter pour la nuit. Mais le problème c’est que, à chaque fois qu’on quittait un village, on perdait le signal radio ce qui fait qu’on passait la plupart du temps sans radio et donc, sans musique. Heureusement, Agnès s’est reconvertie en DJ en profitant de notre notebook pour mixer de la musique. D’ailleurs, parlons-en de la radio Néo-zélandaise! Après plusieurs milliers de kilomètres sur les routes, nous avons eu le temps de la connaitre. Voici quelques faits intéressants :
- Ils sont fans de Coldplay et Taylor Swift (pas nous…)
- Il manque une station radio qui diffuse sur tout le territoire (genre France Inter ou Europe 1). Ça serait bien pratique!
- Chaque bonne musique est suivie de 10 morceaux de pop assez indigestes (pas sûr qu’ils soient tous Néo-zélandais mais nous avons nos doutes) d’où notre surnom donné aux radios néo-zélandaises : « Soupe FM »
Coastal road (SH6) borded by a luxuriant forest La route cotiere de la SH6, bordee par une foret luxuriante |
- Il manque une station radio qui diffuse sur tout le territoire (genre France Inter ou Europe 1). Ça serait bien pratique!
- Chaque bonne musique est suivie de 10 morceaux de pop assez indigestes (pas sûr qu’ils soient tous Néo-zélandais mais nous avons nos doutes) d’où notre surnom donné aux radios néo-zélandaises : « Soupe FM »
Weka, another native bird of New-Zealand Le Weka est un autre animal endemique de la NZ |
Cette routine nous a accompagné jusqu’à Franz Josef pour le premier soir, un endroit renommé pour ses vues et ses marches sur le glacier. Avec un temps aussi bouché, autant dire que nous sommes partis dès le lendemain matin.
Malgré tout, le temps donnait un air dramatique aux baies que nous traversions. Et avec la houle qui s’écrasait sur la falaise d’où jaillissaient des lames blanches, les vues étaient spectaculaires. Nous nous sommes arrêtés à Punakaiki, un endroit connu pour ses rochers en forme de crêpes empilées. Même les meilleurs scientifiques n’arrivent pas à expliquer leur formation. Il fallait visiter ce lieu à marée haute or, nous arrivions sur le site sans connaissance des horaires de marées. Une fois sur place, nous jetons un œil anodin sur un panneau d’information : Marée haute…..14h17. Un coup d’œil sur nos montres qui donnaient 14h03. Parfait ! Ça ira! La mer était déchaînée et les conditions parfaites pour visiter le lieu. L’eau s’engouffrait dans des trous crées dans la roche. Visuellement, on aurait dit des geysers. C’était en effet dramatique et sans aucun doute le meilleur arrêt de toute la côte ouest. C’était au moins aussi spectaculaire que la chaussée des géants sur la côte Nord-Irlandaise (une pile de colonnes hexagonales formée par des éruptions volcaniques il y a des milliers d’années).
A la fin du deuxième jour, le temps s’est amélioré et nous avons établi le camp juste en dehors de Murchison pour être rapidement accueillis pas nos amis les moucherons… Oubliez les puces d’Amérique du Sud ou les moustiques que vous connaissez en Europe. Ceux-ci sont bien plus féroces! Ils sont partout autour de vous et se servent à chaque morceau de chair encore exposée. Et ils n’y vont pas par quatre chemins avant de vous piquer. Et ça gratte pour plusieurs semaines (nous ont dit les locaux) -gratte-gratte-gratte! Sans eux, la Nouvelle-Zélande aurait été la meilleure destination au monde… Stupides insectes ! (Gratte-gratte !)
A la fin du deuxième jour, le temps s’est amélioré et nous avons établi le camp juste en dehors de Murchison pour être rapidement accueillis pas nos amis les moucherons… Oubliez les puces d’Amérique du Sud ou les moustiques que vous connaissez en Europe. Ceux-ci sont bien plus féroces! Ils sont partout autour de vous et se servent à chaque morceau de chair encore exposée. Et ils n’y vont pas par quatre chemins avant de vous piquer. Et ça gratte pour plusieurs semaines (nous ont dit les locaux) -gratte-gratte-gratte! Sans eux, la Nouvelle-Zélande aurait été la meilleure destination au monde… Stupides insectes ! (Gratte-gratte !)
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