View to Mt Cook / Vue sur Mont Cook |
Christchurch: in memory to the victims of the 2011 earthquake En memoire aux victimes du tremblement de terre de 2011 |
NZ is without a doubt the ultimate outdoor destination. It has everything for itself: stunning sceneries, great transports, nice people, good food and wine. “Kiwiland” is modern and cheaper than its big neighbour the “kangaroo island”.
And even better: it has nature, nature, nature…Everything is built around it, and we could feel in harmony with it: there are national parks and campsites everywhere; they are very environment friendly (and, quite rightly, it’s easy to understand why they haven’t forgiven us for the sinking of the Rainbow Warrior in 1985!); they recycle everything and live a life with nature, not in it. The country’s infrastructure is well developed and, even though the climate can be harsh (we heard that this summer has been the wettest in a very long time) with landslides a regular occurrence. But it was common to see signs of recent landslides with the road/footpath having been reconstructed quickly.
Near Mot Cook / Pres de Mont Cook |
Akaroa town / Dans la ville d'Akaroa |
With footballs like this ne, no wonder NZ never won the world cup! Avec un ballon comme ca, pas etonnant que la NZ n'ait pas gagne la coupe du monde! |
It’s a wildlife paradise and the country is blessed to have unique animals that live in NZ and nowhere else. The perfect example is the Kiwi, a wingless bird with a long beak (hence the legitimate question: is that a bird or a mammal?), the country’s national emblem. But it is difficult to spot it in the wild. It is nocturnal, have bad eyesight but, like ostriches, can run fast. As they have difficulties to reproduce and predators (like stoats, cats and dogs), their number has significantly declined over the years. For us, spotting it was like chasing shadows: we could see its habitat, its poo and even hear it but we could never see it. It had started to be as elusive as the “Loch Ness” monster or the “Yeti”, a story to attract attention amongst tourists. So we decided to have a look for ourselves: in Queenstown and in Rotorua, we went to see them in captivity where they are nursed. And of course, we were not allowed to take picture (being nocturnal, imagine being waken-up by a flashlight in your face!) so we have no proof of our claim, but yes, the kiwi is for real! We have seen it! And it is not this green sweet fruit with seeds inside and a hairy skin. It has feathers, claws, a long beak (with nostrils at the end of the beak giving him a very fine sense of smell) and powerful legs.
I am a batwoman! Wouwouwouowu! (Stewart Island) Je suis une Batgirl! Wououououououo (Stewart Island) |
In this paradise of nature and beauty, there are two problems. First, it is far from anywhere else. Getting there is already half the journey. Some locals complain that they don’t get the diversity of Europe: to change scenery and culture, they have to take long flights, which is not doable in one WE. The second issue is tiny but very intrusive: sand-flies. There is only one thing that attracts them: your flesh/blood. And they don’t care you have sprayed yourself with insect repellent, they’ll go for it! For a while, it had become personal: a fight between us and them. And in the end, it had become a bloodbath, with hundreds of dead corpses now littering our tent (not sure what the Australian customs will say when they see all that). Sometimes, we joked that eradicating sand flies would certainly boost the country’s tourism.
Manapouri lake: is our flight taking us? Lac de Manapouri: y a t il un avion pour nous prendre? |
Our first glimpse of NZ had been in Christchurch, a city badly damaged by last year’s earthquake. But you could feel the energy and solidarity within the people. By and large, Neo-Zealanders came across as extremely friendly, talkative and curious about you. A bit like in Ireland, it was very common to start the best conversation with a complete stranger (and they won’t forget to remind us that they beat us twice and won the last rugby world cup). And, to top it all, they have the funniest and most charming accent!
Dramatic scenery on our way to the westlands Les paysages dramatiques sur la route vers la cote ouest |
As a whole, we enjoyed the south island a lot more than the north, primarily because we had more time to explore the south (1 month vs 1 week to the North) but also because the weather was much better in the south. On the other hand, North was more populated also and had fewer empty regions. We will remember the Routeburn and Abel Tasman for a very long time. In fact, we will remember New Zealand for a very long time indeed.
How can we foget the stunning sceneries on the Routeburn route? Comment oublier les paysages sublimes de la Routeburn? |
La Nouvelle-Zélande est sans aucun doute la destination nature et aventure par excellence. Elle a tout pour elle : des paysages somptueux, des transports modernes, des gens adorables, de la bonne bouffe et du bon vin. « Kiwiland » est en plus moins cher que son grand voisin « l’ile aux kangourous »
...and again here! /....et a nouveau ici! |
Mieux: elle a la nature, la nature et encore la nature… Tout est construit en harmonie avec la nature: des parcs nationaux à foison, des campings dans chaque ville, des animaux et des arbres, en veux-tu, en voilà ! Ils sont très écolo (et on peut comprendre qu’ils nous en veulent toujours pour avoir torpillé leur Rainbow-Warrior en 1985…Bah ! Ils ont gagné la coupe du monde de rugby alors, on est quitte !) ; ils recyclent tout et vivent une vie avec la nature et non pas dans la nature. Les infrastructures sont très développées et le climat peut être difficile (il parait que cet été aura été le plus pluvieux depuis longtemps !) avec des glissements de terrain réguliers. Mais il est courant de voir que les glissements de terrain récents (de la veille ou qui viennent juste de se faire) sont vite déblayés et les routes/chemins reconstruits.
And of course, a nice burger to fonish the trek (Queenstown) Et bien sur, un bon burger apres l'effort (Queenstown) |
And why not try a nice wine (Murchison) Et pourquoi pas un bon vin (Murchison) |
C’est un paradis pour la vie sauvage et le pays a la chance d’abriter des espèces uniques présentes en NZ et nulle-part ailleurs. Le meilleur exemple est en effet leur emblème national, le Kiwi, un oiseau sans ailes et un long bec (d’où la question légitime : Mammifère ou oiseau ?). Mais c’est difficile de l’observer en pleine nature : il est noctambule, a une mauvaise vue mais, comme les autruches, peut aller vite. Etant donne ses difficultés à se reproduire et à cause des prédateurs (les furets et les chiens, entre autre), leur nombre a largement diminué au fil des années. Et l’observer revenait à chasser des ombres : on pouvait en voir la trace, voir son habitat ou encore son « caca », on pouvait l’entendre mais jamais le voir. On en était à se demander si ce n’était pas comme le monstre du Loch Ness ou le Yeti, des histoires pour attirer la curiosité des touristes ! Alors, on a voulu en avoir le cœur net : à Queenstown et Rotorua, nous sommes allés le voir en captivité. Et bien sûr, on ne pouvait pas le prendre en photo (il est noctambule, alors imaginez qu’on vous réveille avec un flash en plein dans les yeux !) mais, on vous confirme, il existe bien ! Nous l’avons vu en chair et en os ! Et il n’est pas vert avec des pépins et une peau avec des poils : Il a des plumes, un long bec (avec ses narines au bout du bec ce qui lui confère un sens développé de l’odorat) et des pattes puissantes.
Abel Tasman trak and its lovey beaches Le sentier a Abel Tasman et ses plages |
Little Teddy in the arms of a Maori sculpture Notre Nounours faiseur de bonheur dans les bras d'une statue Maorie |
Dans ce paradis de nature et de beauté, tout n’est pas rose. Premier problème: y arriver représente déjà la moitié du temps de voyage. Certains locaux se plaignent même du manque de diversité à l’européenne : « quand vous voyagez en Europe, en 2h, vous êtes en Espagne, en Italie, ou en Irlande. Ici, on est loin de tout. Pour changer de culture, il faut voyager au moins 6h et ça ne se fait pas en un WE ! ». Deuxième problème : il est minuscule mais de taille : les moucherons. Ils sont très intrusifs et n’ont qu’une chose en tête : sucer votre sang. Et peu importe que vous vous soyez vaporisé d’anti moustique, ils trouveront toujours ce morceau de chair que vous avez oublié (comme les trous dans le bracelet de montre !). A la fin, ça devenait personnel et cela s’est terminé en bain de sang. Désormais, le sol de notre tente est jonché de cadavres d’insectes (on ne sait pas ce que la douane australienne dira à ce propos !)
Notre première vision de la NZ a été Christchurch, une ville fantôme car détruite par le tremblement de terre de février 2011. Mais la ville se reconstruit rapidement et on pouvait sentir l’énergie et la solidarité de chacun. Et en général, les NZ sont très bavards, curieux et aiment discuter, parler du temps, du pays, et de vous. Et, un peu comme en Irlande, c’est très courant de passer 30mins à parler à un parfait inconnu pour y échanger des anecdotes croustillantes sur le pays (et, évidemment, ils ne manqueront pas de rappeler qu’ils nous ont battu deux fois et ont gagné la coupe de monde de rugby !). Et, pour couronner le tout, ils ont un accent très fort mais des plus charmants !
Nous avons largement préféré l’ile du sud à celle du nord, principalement parce que nous avons eu plus le temps d’en profiter (1 mois contre 1 semaine dans l’ile du nord). Le temps aura été aussi bien meilleur dans le sud et nous avons trouvé cette région plus « nature » et moins peuplée. Nous nous souviendrons de la Routeburn et Abel Tasman pendant longtemps. En fait, nous nous souviendrons de la Nouvelle-Zélande pendant trèèèèèèès longtemps.
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