Christchurch city centre: a ghost town / Centre ville de Christchurch: une ville fantome |
Flowers in hommage to the deceased / Hommage aux victimes |
This clinic is slightly tilted to the back Cette clinique s'est affaisee a l'arriere |
On February 22, 2011, a major earthquake hit New Zealand’s second city, leaving 185 people dead. We did not realize this but we arrived there one year later from the very day, and visited the town a day after the remembrance ceremonies. Going through the suburbs, damaged building were still visible; the centre of town is still completely blocked off with shops, transport hubs and government offices relocated to temporary locations in warehouses or construction containers. Talking to people, it is evident that memories of that day were fresh in people’s mind. A pub owner has lost 2 of his pubs around town and his bartender colleague had lost her home. A worker at the campsite where we stayed gave us his account as witness, saying he saw “the ground undulate and lamp posts oscillate away from each other”. All across the city, the demolition of damaged buildings was still taking place. There was a clinic that had visibly sunk from one side leaving it visibly tilted, like another high storey building that, from far away, looked visibly tilted compared to other standing buildings. Christchurch looked like a city which has lost its soul. Hearing a driver talk about how vibrant the city was on evenings with bars full of life before that day was heart-breaking. But the city will rise again stronger and better, and citizens are full of hope for the future.
The first thing we have noticed when we arrived in NZ, beside the strong accent, is how chatty people were. We spent our entire day talking to numerous complete strangers on the street or I shops. NZers are easy to talk to, and share a lot of information about the weather, their country and are very willing to help you. One thing they all confirmed: there are lots to see in NZ!
Before we left, we were approached by a Swiss mother offering us the food she had left (she would fly back home later that day). Then came another woman. And another one. We now have enough food for the next week and tea for the next month.
Every country has its own best and cheapest method of transport: in Russia, it was the train; in Nepal, the bus; in Australia, it was the plane. In NZ, it is the car: so we have ended up renting a car for NZ$24 a day to drive around the South and North Islands. Freedom is ours! Bring it on, New Zealand!
The Peacock Fountain / La Fontaine Paon |
Ulmus minor tree / Un arbre du nom de Ulmus minor |
Le 22 février 2011, un tremblement de terre majeur a touché la deuxième ville du pays, causant la mort de 185 personnes. Sans l’avoir pour autant programmé ainsi, nous sommes arrivés à Christchurch un an jour pour jour après cet évènement tragique et avons visité la ville le lendemain des commémorations. En circulant dans la ville, des bâtiments détruits ou sérieusement endommagés étaient visibles ; le centre-ville était interdit d’accès ; les magasins, centre de transport et bâtiments officiels ont été déplacés dans un endroit temporaire dans des hangars ou des containeurs. En parlant avec des locaux, nous avons pris conscience du traumatisme encore présent. Un gérant de Pub a perdu 2 de ses enseignes en ville et sa collègue serveuse a perdu sa maison. Un membre du personnel du camping où nous sommes restés nous a raconté comment il avait vécu le tremblement de terre: « j’ai vu le sol onduler sous mes pieds et les lampadaires oscillaient entre eux. C’était effrayant! » Les conséquences sur les bâtiments sont encore visibles en ville : des bâtiments fissurés, une clinique légèrement affaissée sur un côté et, plus loin, un immeuble à plusieurs étages était lui aussi visiblement incliné par rapport aux immeubles avoisinant. La ville semble avoir perdu son âme, le témoignage le plus émouvant étant celui d’un chauffeur décrivant la ville « avant », avec les rues pleines de vie les soirs de weekend. Mais la ville ressortira grandie de cette épreuve et ses habitants ont foi en l’avenir.
A word to the citizens of Christchurch Un mot en memoire des victimes |
L’autre caractéristique marquante que nous avons remarqué en arrivant en NZ, hormis l’accent très prononcé, était la facilité avec laquelle les néo-zélandais engageaient la conversation. Nous avons passé toute notre première journée à parler longuement à des parfaits inconnus. Ils ont la parlote facile : ils aiment parler rugby, du temps qu’il fait, de leur pays et nous confirment un fait maintenant avéré : il y a énormément de choses à faire en NZ! Et on ne va pas s’ennuyer.
Avant de quitter le camping, nous sommes accostés par une Suisse qui nous propose de nous donner ses restes de nourriture (c’était son dernier jour en NZ). Vient ensuite un autre campeur, puis un autre. Nous avons désormais assez de nourriture pour tenir une semaine et assez de thé pour le mois prochain.
Chaque pays a son meilleur moyen de transport et à petit prix : en Russie, le train; au Népal, le bus; en Australie, l’avion et en Nouvelle-Zélande, c’est la voiture : nous avons donc loué un véhicule pour 24$ par jour pour circuler sur l’ile du sud et du nord. Nous donc libre d’aller où on veut ! Nouvelle-Zélande, nous voici!!!
A prayer tree: everybody can write a word in the memory of the deceased people |
The buidling in the middle is tilted L'immeuble du milieu penche leregement a droite |
Cracks in the buiding / Fissures dans le batiment |
Le centre ville est ferme a la circulation |
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