Let’s take the
story where we left it… We were back in Paris having completed our
round-the-world trip. We were back in Ireland for a friend’s wedding and
touching base with our old friends, remembering all the good time we've had for
many years in Dublin. One month later and freshly married, we are ready to
start a new life.
We landed in
Toronto on May 30 to head back to the same hostel where we had previously
stayed back in April. But, by the way: why Toronto rather than Montreal? We
visited both cities and liked them both. We just enjoyed Toronto a bit better,
and we thought there were more opportunities in the bigger place that Toronto
is, in the English speaking Canada.
Day #1 in Canada:
Open a Bank account. Tick! Have a mobile phone. Tick! Then, start the house
hunting… Toronto is a big place and apartments to rent abound. We spent our
first WE in Toronto visiting areas like High Park, Islington, Eglinton or St
Clair, all previously recommended to us on the Net or by people we’ve met.
Canada is a place
notorious for things to happen through networking. So we started building our own
network and what better place than the French Alliance in Toronto, an organism helping newcomers find their footing in Canada and in
the Canadian job market. Agnes’ profile instantly caught their interest: “you
mean, you can rebuild a website? You can do the association's website?“. She can do anything and, the next day, she’s
hired as a volunteer to help with the Francophone Center’s survey.
In the meantime,
with time to spare, I went to do my shopping in the biggest shopping centre in
Toronto, the very same place where, 2 days previously, a shooting took place
that hit the news all the way across the ocean. And, making my way out of the
shopping centre, I’ve been interviewed by a journalist from CBS News. “How does
that feel to be back here after what happen? Do you think it will give Toronto
some bad publicity?” I answered the questions in both French and English,
giving my best speech and best shot, while the cameraman was filming, hoping I’ll
be on the News.
Here we are in
Canada!
Reprenons l’histoire
où nous l’avions laissée…. Nous étions de retour à Paris ayant complété notre
tour du monde. Nous étions repassés en Irlande pour le mariage d’un ami,
retrouver nos vieux amis et se remémorer tous les bons moments passes à Dublin.
Un mois plus tard, fraichement mariés, nous étions prêts pour une nouvelle vie
au Canada.
Nous avons touché
terre à Toronto le 30 mai et sommes revenus au même hostel où nous avions logé
quelques semaines auparavant. Mais au fait, pourquoi Toronto et pas Montréal ?
Nous avons visité les deux villes et les avions aimé toutes les deux. Nous
avons juste préféré Toronto, et nous avons pensé qu’il y aurait plus d’emploi pour
nous, cote anglophone.
Première journée
au Canada : ouvrir un compte en banque. C’est fait ! Acheter un portable et avoir un numéro
canadien…C’est fait! Maintenant, étape suivante : la recherche de logement…
Toronto regorge d’appartements à louer. Alors, pour notre premier WE à Toronto,
nous avons arpenté les rues et visite quelques quartiers intéressants comme
High Park, Eglinton, Islington ou encore St Clair, tous recommandés sur
Internet et par les quelques personnes que nous avons rencontrés sur place.
Le Canada est
un endroit où tout se fait par réseautage. Nous avons donc commencé à
construire notre réseau, en commençant pas le centre Francophone de Toronto,
un organisme financé par le ministère de l'emploi qui aide les arrivants à s’installer et trouver
leur route sur le chemin de l’emploi. Le profil d’Agnès trouve tout de suite
une oreille attentive : « Vous faites les sites Web ? Vous
pourriez vous occuper de celui de du Centre Francophone ? » Et oui, elle peut tout
faire ! Elle est donc embauchée en tant que volontaire et aider… à compléter
un sondage pour l’association (en attendant mieux !)
Du coup, ayant
du temps à perdre pendant qu’Agnès était au travail, je fais mon shopping dans
le plus grand centre commercial de la ville, le même où, deux jours plus tôt
avait lieu des échanges de coup de feu en plein centre-ville en plein samedi après-midi
(l’affaire avait fait beaucoup de bruit ici, jusqu’en Europe). Et en sortant du
centre commercial, je suis interviewé par un journaliste de CBS News : « Qu’est-ce
que ça fait de revenir ici après ce qu’il s’est passé ? Vous pensez que ça
va faire de la mauvaise presse à Toronto ? » J’ai répondu aux
questions en Anglais et en Français, donnant mon meilleur profil pendant que le
cameraman me filmait en se disant : « Lui, c’est bon, il passe aux 20
heures ! ».
Ca y est. Nous
sommes au Canada !!