GOOOOOOOOOOOOAAAAAAAAAAAAAAAALLLLLLLLLLL!!!!! |
In Ireland, it’s Gaelic Football and Hurling. In Italy,
England & Spain, it’s football. In the South West of France, it’s rugby.
In Canada, it’s Ice Hockey (or simply literally put, “Hockey”).
Toronto is the largest city in Canada and the largest fan
base of Hockey in the country. And for the first time in 9 years, Toronto’s
Maple Leafs were playing the play-offs. And you could feel people growing more
passionate.
The North American League of Hockey, the NHL, covers both
the US and Canada on 2 leagues calles “conferences”: the west conference,
covering teams in the west (like Vancouver or Los Angeles) and the East
conference with teams like Ottawa, New York, Montreal and of course, Toronto.
Each team is playing every other team throughout the
season (which started later this year because of a strike). AT the end of the
regular season, the top 8 of each conference plays each other in the play-offs
(The first against the 8th, the second vs the 7th, etc…)
in the best of 7 games (with the first team winning 4 games qualifying for the
next round). At the end, the winner of the western conference plays the winner
of the eastern conference play each other in the NHL final for the ultimate
price: the Stanley Cup.
Toronto’s Maple Leafs finishing 5th were
playing the team finishing 4th, Boston’s Bruins.
After the first 4 games, Boston was winning 3-1. And
then, Toronto won the next 2 games, primarily thanks to a fantastic James
Reimer, the goalkeeper, taking the overall score to 3-3. The last game would be
a decisive one. And that’s really when the passion kicked off.
We went with some friends to watch the game in our local
pub which was completely packed for the occasion. And the tension was palpable:
1-1 at the end of the first period. Then, the Maple Leafs, led by their star
Phil Kessel took a one goal advantage… 2-1, then 3-1 and even 4-1!!! And they
even had the puck inside the net a fifth time when Matt Frantin found himself
on a one to one against the Bruin’s keeper on a counter-attack. And with 10mins
to go, we thought: “That’s it! In the bag!”
And then…
Amongst the many rules of Hockey (that we are still
learning game after game), one team can replace the keeper with 2 on field players,
giving the attacking team a numerical advantage. The only drawback is that the
net is unoccupied…
This rule enabled the Bruins to get back into the
game : 4-2. Then, in the matter of 31 seconds, 51s before the end of the
game, 4-3 & 4-4… A collapse that was unimaginable just 10 minutes before.
At 4-4 at the end of regular time, this was going to be
played on Overtime. The first team to score would win the game and the series. No need to mention how much tension there
was!
And, after 14mins of overtime, it was…Boston who scored.
Losing 5-4 after leading 4-1 10mins before the end of the game, this was a
crushing blow… The pub was dead silent… And the day after, we felt hangover as
when your favourite team has lost when they should have won it…
But we have lived the game to the full, and a proof that
we are starting to integrate: we lived Hockey as passionately as locals! Can’t
wait for the next season!
Toronto: 4. Boston 1. That was before... / C'etait avant que... |
En Irlande,
c’est le football gaélique et le hurling. En Italie, Espagne et Angleterre,
c’est le football. Dans le Sud-Ouest en France, c’est le rugby. Au Canada, c’est
le Hockey sur glace ; d’ailleurs, ils l’appellent juste le Hockey.
Etant la plus
grande ville du Canada, Toronto possède la plus grande base de fans de Hockey
du pays. Alors quand, pour la première fois depuis 9 ans, l’équipe de Toronto,
les « Maple Leafs » (ou littéralement « Feuilles
d’érable ») se sont qualifiés pour les Play-offs, nous avons senti un
engouement populaire.
La Ligue Nord-Américaine
de Hockey, la NHL, recouvrant les USA & le Canada, se divise en deux zones géographiques
appelées « conférences » : la conférence Ouest (où jouent
Vancouver, Los Angeles, Edmonton) et la conférence Est (où jouent Ottawa, New
York, Montréal, Washington et donc, Toronto).
Chaque équipe
se rencontre plusieurs fois tout au long de la saison (qui, cette année, a commencé
plus tard que prévu, pour cause de grève des joueurs). A la fin de la saison régulière,
les 8 premiers de chaque conférence se retrouvent pour les play-offs, où le
premier de conférence rencontre le huitième, le second rencontre le septième,
etc… Chaque rencontre se fait au meilleur des 7 matchs (le premier qui remporte
4 matchs est qualifié pour le tour suivant). A la fin, le vainqueur de chaque conférence
(Ouest et Est) se rencontre pour le titre : la Stanley Cup.
Les Maple
Leafs de Toronto, ayant fini cinquième de leur conférence, rencontraient donc
le quatrième de conférence : les Bruins de Boston.
Sur les 4
premiers matches Boston avait pris un avantage en menant 3 victoires à 1. Et
puis, Toronto a gagné les 2 matches suivants, grâce notamment à l’excellent gardien
James Reimer, et égaliser sur l’ensemble des matches à 3 partout. Et le match
suivant, le dernier, serait décisif : celui qui gagne ce match se qualifie.
Et c’est là que l’engouement a vraiment pris.
Nous sommes allés
voir le match avec des amis dans notre pub local qui, pour l’occasion, était
plein à craquer. La tension était palpable : 1 partout au bout du premier
tiers temps. Puis, Toronto, emmené par sa star Phil Kessel, prend l’avantage :
2-1 ; 3-1 puis 4-1 !! Et ils ont même eu le palet du 5-1 au bout de
la crosse, quand Matt Frantin s’est présenté seul devant le gardien en contre. Plus
que 10 minutes dans le dernier tiers temps (qui en compte 3 en tout). Et là, on
se dit : « C’est bon ! In the pocket ! »
Et là…
Parmi les
nombreuses règles du Hockey (que nous découvrons au fur et à mesure des
matches), l’une d’elle donne le droit à une équipe de changer leur gardien
contre 2 joueurs. Cela donne un avantage numérique à l’équipe qui attaque. Par
contre, il n’y a plus de gardien. Mais cela a permis aux Bruins de Boston de
revenir. Un but à 9mins de la fin…4-2. Puis 4-3…et 4-4, les deux derniers buts
en 31 secondes à 51s de la fin du match…Un énorme coup au moral et un
effondrement de l’équipe inimaginable il y avait de çà 10mins.
4-4 à la fin
du temps réglementaire, cela se jouerait aux prolongations. Et dans ces cas-là,
c’est le premier qui marque. Et au bout de 14mins de prolongations, c’est
finalement…Boston qui a marqué. Silence de cathédrale dans le pub…et énorme déception…
Le lendemain,
on avait la gueule de bois, comme quand sont équipe favorite a perdu la coupe
alors qu’elle menait largement…
Mais nous
avons vécu la chose pleinement, et une preuve que nous commençons à nous intégrer
et aimer les mêmes choses que les locaux ! Vivement la saison
prochaine !